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1.
Revue des maladies respiratoires ; 40(2):135-135, 2023.
Article in English | EuropePMC | ID: covidwho-2249604

ABSTRACT

Introduction Non-invasive ventilation can be used for the management of acute respiratory distress syndrome in Covid-19 patients. The objective of our study is to describe the profile of severe covid-19 patients with non-invasive ventilation seen in the Joseph Raseta Befelatanana University Hospital in Antananarivo, Madagascar. Methods This was a descriptive prospective observational study from April 1 to June 30, 2021, including all confirmed cases of Covid-19 by RT-PCR, severe form whose Sa02/Fi02 ratio is ≤ 315 whose non-invasive ventilation was the ventilation support used. Non-invasive ventilation parameters: Fi02 for Sp02 ≥ 92%;EPAP 4–8 cmH20;pressure support: 5–12 cmH20 for tidal volume target: 6–8 mL/kg of ideal weight;continuous session. The parameters studied were demographic, clinical, imaging, therapeutic and outcomes. Non-invasive ventilation failure was defined as patient death. Results During this period, 09 cases were retained. The average age was 63 years old. A male predominance was found with a sex ratio of 2. Eighty-nine percent (89%) of the cases had comorbidities dominated by high blood pressure (67%) and diabetes (33%). One case had known COPD (11%). Imaging was typical in CT scan with ground glass (100%), condensation (44%), fibrosis (33%), both peripheral and central (78%), diffuse (100%), bilateral (100%);affecting more than 50% (66%) of the lung parenchyma. Non-invasive ventilation was well tolerated in 67% of cases. Non-invasive ventilation was effective in 67% of cases by decreasing respiratory rate (89%), signs of respiratory struggle (56%) and improving hypoxemia (100%). The duration of a session ranged from 12 to 20 hours per 24 hours. The average total duration of non-invasive ventilation was 5 days ranging from 1 to 11 days. The healing rate was 67% although 83% were discharged with long-term oxygenotherapy and 17% with home non-invasive ventilation. Nevertheless, the death rate was 33.33%. Conclusion The occurrence of acute respiratory distress syndrome constitutes the severity of covid-19. Non-invasive ventilation is an alternative to reduce the mortality of patients with acute respiratory distress syndrome.

2.
Medecine d'Afrique Noire ; 69(10):527-534, 2022.
Article in French | GIM | ID: covidwho-2169513

ABSTRACT

Introduction: From January 2020 to December 31st, 2021, an estimated 5,940,000 people have died from COVID-19 worldwide. Case fatality rates vary by country, study setting and time. The objective of the present study was to determine the epidemiological and clinical factors associated with COVID-19 deaths in our department. Material and methods: This was a retrospective, descriptive and analytical case-control study of patients hospitalized in the Pulmonology Department of University Teaching Hospital Joseph Raseta Befelatanana in Antananarivo Madagascar, during the first two waves of COVID-19 in the country, from March to September 2020 and from March to June 2021.

3.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):119, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586686

ABSTRACT

Introduction L’infection à SARS-CoV-2 était apparue en Chine en 2019 et était devenue par la suite une pandémie. Elle occasionne une atteinte systémique mais essentiellement respiratoire. L’objectif de notre étude est de décrire les aspects cliniques, radiologiques et évolutifs de l’infection à SARS-CoV-2 vue dans le service de pneumologie du centre hospitalier universitaire Joseph Raseta de Befelatanana Antananarivo, Madagascar. Méthodes Il s’agissait d’une étude rétrospective descriptive allant du mois de mars au mois de septembre 2020 incluant tous les cas confirmés de COVID-19 par RT-PCR, toutes formes confondues. Les paramètres étudiés étaient démographiques, cliniques respiratoires, radiologiques et évolutifs. Résultats Durant cette période, 169 cas étaient retenus. L’âge moyen était de 52 ans. Une légère prédominance masculine était retrouvée avec un sex-ratio de 1,47. Quarante pour cent (40 %) des cas avaient des comorbidités dominés par l’hypertension artérielle (40 %) et le diabète (18 %). Le syndrome grippal était retrouvé chez 17 % des cas. La toux sèche était présente dans 59 % des cas et la toux grasse dans 34 % des cas. La dyspnée était présente dans 60 % des cas. L’asthénie était présente dans 95 % et la fièvre dans 59 % des cas. Cinquante-sept pour cent (57 %) des cas étaient polypnéiques et 61 % présentaient une désaturation en air ambiant. Pour les formes cliniques des patients, 37 % étaient des formes légères, 50 % étaient modérées, 4 % étaient graves et 3 % étaient critiques. L’imagerie était typique avec des lésions scanographiques en verre dépoli (80 %), périphérique (80 %), bilatérale (80 %). L’évolution était favorable dans la plupart des cas (guérison dans 48 %) ;le taux de décès était de 8 %. Conclusion L’infection à SARS-CoV-2 est potentiellement grave par son évolution imprévisible. Les sujets jeunes, ceux du genre féminin et ceux qui n’ont pas de comorbidités pourraient également développer la forme grave de la maladie. La prévention reste cruciale dans la lutte contre cette pandémie.

4.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):119, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586685

ABSTRACT

Introduction Madagascar compte actuellement 42°873 cas confirmés, 956 cas de décès et 41 283 cas de guérison de COVID-19 selon l’OMS (09/09/2021). La mesure de la saturation pulsée en oxygène (SpO2) est incontournable devant la discordance possible entre la dyspnée et l’hypoxémie appelée: hypoxémie heureuse ou silencieuse. Nous avons voulu déterminer les corrélations entre la dyspnée et la désaturation, d’une part, et entre la dyspnée et l’étendue des lésions pulmonaires vues au scanner thoracique, d’autre part. Méthodes Il s’agit d’une étude analytique et descriptive auprès des malades diagnostiqués comme COVID-19 confirmés par le test RT-PCR COVID-19 ayant pu réaliser une mesure de la SpO2 et un scanner thoracique, hospitalisés et vus en consultation externe, dans le service de pneumologie du CHU-JRB Antananarivo, Madagascar, de mai 2020 à mai 2021 (12 mois). Résultats Au total, 176 patients ont été inclus dans l’étude avec 56,8°% d’homme (n=100) et 43,1°% de femme (n=76). L’âge moyen des malades étaient de 50,3 ans (écart-type=14,2). Après avoir étudié la corrélation entre la présence ou non de la dyspnée avec les valeurs de la SpO2, nous n’avons pas retrouvé une association significative entre la désaturation (SpO2<93°%) et la dyspnée chez nos malades (OR°: 0,96°;IC95°%°: 0,52–1,76°;p=0,902). Par contre, avec le scanner thoracique, nous avons constaté l’existence d’une corrélation entre les lésions étendues dites très sévères (atteintes parenchymateuses>75°%), et la présence de la dyspnée (OR°: 7,15°;IC95°%°: 1,26–40,31°;p=0,032). Et plus les lésions étaient minimes (atteintes parenchymateuses<10°%), moins il y avait de dyspnée (OR°: 0,41°;IC95°%°: 0,21–0,80°;p=0,009). Nous n’avons pas retrouvé une corrélation entre la dyspnée et l’étendue légère (atteintes parenchymateuses entre 10–25°%) (p=0,154), modérée (atteintes parenchymateuses entre 25–50°%) (p=0,749) et sévère (atteintes parenchymateuses entre 50–75°%) (p=0,079) des lésions sur le scanner thoracique. Conclusion L’examen clinique seul ne permettait pas d’apprécier la gravité initiale de l’infection à SARS-CoV-2. Notre étude montrait une discordance entre la désaturation déjà existante et l’absence de la dyspnée. Par ailleurs, la survenue de ce symptôme signifie déjà la présence des lésions thoraciques très évoluées. Ce qui nous amène à suggérer de prescrire de façon systématique un scanner thoracique, même sans dyspnée, afin de pouvoir déterminer l’étendue exacte des lésions et d’en déterminer la gravité initiale de la maladie.

5.
Revue des Maladies Respiratoires Actualités ; 14(1):150, 2022.
Article in French | ScienceDirect | ID: covidwho-1586617

ABSTRACT

Introduction Dans le cadre de notre étude sur le suivi respiratoire des patients post-Covid, nous avons constaté un afflux de patients qui se plaignaient d’un trouble de sommeil associé à des évènements respiratoires nocturnes anormaux. Afin d’établir le diagnostic d’un syndrome d’apnée hypopnée du sommeil, nous avons procédé à un enregistrement de ces patients par un examen de polygraphie ventilatoire. Notre objectif est ainsi de décrire les profils cliniques et polygraphiques de ces patients. Méthodes Il s’agit d’une étude observationnelle descriptive des patients présentant un trouble du sommeil parmi une cohorte de population suivi en pneumologie à la suite d’infection à SARS Cov-2. La période d’étude étant du mois de juillet 2020 au mois d’août 2021 à Antananarivo Madagascar. Résultats Parmi les 117 patients suivis, 39 (33,3 %) ont présenté un trouble du sommeil. Le sex-ratio était de 1,6 et l’âge médian de 56 ans (min : 13–max : 85). À la phase aiguë de l’infection à Covid-19, 19 patients ont présenté des formes sévères ou critiques et 22 ont été hospitalisés. Trente patients ont au moins une comorbidité notamment l’obésité (n=23) et l’hypertension artérielle (n=12). L’apnée du sommeil était diagnostiquée chez 28 patients (71,8 %) avec 13 formes légères, 8 formes modérées et 7 formes sévères. Tous les patients qui ont eu une échelle d’Epworth supérieure à 9 ont présenté une désaturation nocturne. Les patients qui ont présenté des formes modérées à critiques de Covid-19 avaient plus tendance à faire une désaturation nocturne. L’évaluation subjective de la somnolence par l’échelle d’Epworth est significativement corrélée au résultat de l’index apnée hypopnée rapporté par l’examen polygraphique (p=0,001). On n’a pas retrouvé d’association significative entre la sévérité de l’infection à la phase aiguë et la sévérité de l’apnée du sommeil (p=0,56). Conclusion La recherche d’un syndrome d’apnée du sommeil par polygraphie est recommandée chez les patients post-Covid présentant un trouble du sommeil. L’évaluation par l’échelle d’Epworth constitue un élément essentiel dans l’orientation diagnostique.

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